Sans regret, les résolutions n’ont pas d’avenir


Le Nouvel-An rappelle le temps des résolutions.

Et parmi les publications nombreuses, mon attention est retenue sur LinkedIn par l’article de l’auteur et conférencier Gaël Chatelain-Berry qui clame que : « Faire un bilan est plus efficace que prendre des résolutions. »
Dans un article fort intéressant, qui mérite que l’on s’y attarde et qu’on le complète.

En effet, ce qui se cache derrière la démonstration de cet expert du management est, en fait, un mécanisme psychologique profond 🧠 de l’humain. Ce fonctionnement de l’esprit a été compris il y a deux millénaires déjà 🕰️ par les sages intellectuels bouddhiques :

le modèle des Quatre Leviers du Changement est un outil simple et applicable pour nous tous et toutes ; et tous les jours de l’an. 🎯

Détaillons-le …

🔍 Le modèle complet expliqué

Ce modèle se divise en quatre pôles (figure) :
1️⃣ la Résolution
2️⃣ le Regret
3️⃣ le Soutien
4️⃣ l’Antidote

💡 Si l’article de notre consultant n’adresse que les deux premiers points, nous détaillerons les quatre. En effet, sans les n° 3 et 4, le changement, visé par la Résolution, a peu de chance de succès ; et alors un bilan vaut en effet peut-être mieux qu’une résolution.

🥅 La Résolution

C’est le but sur lequel nous nous alignons 🎯 : la situation que nous aimerions atteindre, le projet, le changement que nous aimerions mettre en œuvre. En entreprise, nous dirions que c’est le « où », le « vers quoi » nous voulons aller. 🚀

🤔 Le Regret

C’est ce qui ne nous satisfait pas 😔 : nous ne le voulions pas ainsi ; nous aimerions que cela ne se reproduise pas ; nous aimerions que, dans un contexte identique, le résultat soit différent.

👉 Le Regret est crucial, car il va être le carburant 🔥 de notre résolution. Notre consultant l’appelle le « bilan » ; je préfère faire l’ « éloge du Regret » (comme en 2023, ici 👈 ), car le regret nous engage vers une action 🛠️ : Au-delà de « je ne suis pas arrivé au résultat attendu », je me projette dans « bon, alors je vais faire comment dorénavant ? car je ne veux pas que la situation se reproduise, je dois donc changer quelque chose ». 

🛠️ Le Soutien

C’est ce qui m’aide à soutenir ma résolution 💪 : si le regret est l’aiguillon qui me fait vouloir changer, le Soutien est l’ensemble des moyens et outils que je me donne 🧰.

  • Aide extérieure 👥
  • Nouvelle méthode 📚
  • Nouvelle compétence 🎓
  • Regard tiers 🪞

Et bien sûr, une forte aspiration 🌟 alimentée par le Regret, pour surmonter les habitudes, compromissions ou la paresse.

🏃‍♂️ L’Antidote

C’est le faire ✅, la pratique, la mise en œuvre concrète : on tend à l’oublier, mais sans une organisation qui permet de revenir à la mise en œuvre, ça ne va pas se faire tout seul 🤷‍♂️.
📆 Pratique régulière et organisée, jusqu’à ce qu’elle devienne une nouvelle habitude.

Donc, Mc Solaar, cité par Gaël Chatelain-Berry comme résumé de son propos, a raison quand il chante « pour aller de l’avant, il faut savoir prendre du recul » ; un vrai sage bouddhiste, ce Mc Solaar. Et Monsieur Chatelain-Berry, dans la foulée aussi !

📝 en Bref :

Ce que nous montre ce modèle :
🔹 Une Résolution n’a pas d’avenir sans :

  • un Regret suffisamment fort 🛑 pour nous aiguillonner
  • un Soutien pour permettre les bonnes conditions de mise en œuvre 🛠️
  • une Pratique régulière et organisée 🏃🏻‍♂️

👉 pour atteindre le but : la Résolution 🎯.

En revenant à la déclaration de Gaël Chatelain-Berry, je propose la paraphrase suivante :
🌟 « Avec du Regret, exprimé à partir d’un bilan, les Résolutions peuvent être prises avec bien plus de chance de succès ! »

💡 Comment donc aborder une Résolution ?


1️⃣ Se poser la question :

  • Est-ce que je regrette suffisamment ? 😖
  • Suis-je suffisamment frustré.e pour vouloir vraiment changer ? 🤔

2️⃣ Vérifier ses outils :

  • Ai-je les bons outils, les bonnes aides ? 🛠️

3️⃣ Mettre en place une organisation personnelle de mise en oeuvre :

  • Time boxing ⏳-  Créneaux d’agenda dédiés
  • Rendez-vous avec soi-même 🗓️
  • Mesures et vérifications entre Pratique et Résolution ✔️

Voilà comment la Psychologie Bouddhique inspire une démarche professionnelle sérieuse, et spirituelle en même temps. 🙏 Une invitation à réunir le corps (capacité à faire 💪) et l’ esprit (capacité à savoir faire 🧠).


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Davantage d’informations sur les stages et formations de Psychologie bouddhique,
👉 « Comment donner un sens heureux à sa vie »
👉 « Comment réussir le changement dans sa vie » 👇
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Un Joyau bien gardé

Cet automne, j’avais confié aux pratiquant.e.s du Tog Chöd 3 ce qui fait du Tog Chöd un joyau si précieux. Dépositaires de cette méthode, Annick et moi sommes désireux de la transmettre. Si vous recevez ce message, vous êtes l’une ou l’autre des personnes qui avez pris le temps et l’énergie d’apprendre, de pratiquer, de perfectionner et de perdurer dans cette pratique. Ce faisant, et tant que vous continuez, vous contribuez à maintenir cette sagesse vivante et disponible pour les prochaines et les prochains ; quand ils en auront besoin.

Sans vous, nous n’aurions pas pu partager. La chaîne à laquelle nous appartenons ne se prolongerait pas. Nous serions les extrémités mortes d’une transmission ancestrale.

Avec vous, nous prolongeons la lignée. L’enseignement se perpétue. Vous le maintenez vivant, en le faisant habiter votre corps et votre esprit. Vous faites, de nous tous, les maillons vivants de la chaîne.

Pour cela, j’aimerais vous remercier profondément. Et vous encourager à persévérer dans ce rôle que vous portez chacune et chacun à votre manière. Et à vous souvenir que ce rôle est important pour le monde, qui a besoin que des gardiennes et des gardiens persévèrent à maintenir vivantes des sagesses que d’autres auront besoin un jour.

Oui, vous êtes les gardiennes et gardiens, guerrières et guerriers pacifiques, face à l’oubli !

Bien à vous,

Olivier & Annick

Influencer son devenir

‘Forge ton destin’ est gravé au fer sur mon épaule

Lecture : 4 minutes

tribut à Oroshi, aéromaître de la 34e Horde du Contrevent *

Au prise avec un Siphon de la Flaque de Lapsane, les membres de la 34e Horde furent choqués par la vision qui leur fut offerte : celle de leur « dernier instant » !
Voir l’instant de sa mort, de la destination de sa vie… Quoi de plus flippant ?

Cette anecdote a cueilli mon attention ; j’y ai vu un enseignement « Kun Kyab », de la Vie Enseignante…

Si nous pouvions voir notre mort, notre vie serait donc prédéfinie ; notre « destination » ultime serait connue. Et alors que resterait-il de notre libre-arbitre, de notre capacité à diriger notre vie ? Sommes-nous embarqué.e.s par les flots d’une rivière contre laquelle on n’y peut rien : un destin qui nous colle à la peau, et nous emmène aux confins de notre existence ?

Pour moi, qui enseigne les vertus de la décision, les bienfaits de tenir les rênes de sa vie, il est difficile d’imaginer que notre existence est une pièce toute écrite. Je peine à imaginer que le dernier moment puisse être « connu », alors que nous avons tant de possibilités de changer le cours de nos vies.

Oroshi, l’experte des vents de la Horde, nous propose un regard intéressant : si, depuis ici et maintenant, nous pouvions voir notre « dernier moment », il pourrait bien n’être que la destination la plus probable ; celle que nous atteindrions probablement depuis ici, où nous sommes, au présent de nos vies.

« la plus probable »… y en aurait-il d’autres ? Pour le savoir, regardons où l’on est et d’où l’on vient. Un sage lama tibétain m’avait enseigné :  « ce que tu es aujourd’hui est le résultat de ton passé ; tu es le résultat de l’addition de chacun des jours que tu as vécus jusqu’ici ; de toutes tes décisions, de tous tes choix, de tous tes actes » .

Dans ce cas, cette image du futur serait le résultat de tous mes actes, de demain, d’après-demain et ainsi… jusqu’à « dans le futur »… une grande chaîne de ‘devenir’ .

C’est là que mon lama et l’aéromaître Oroshi se rejoignent : si tu ne changes rien dans ta manière de vivre, tu vas filer droit, jusque dans l’avenir, jusqu’à ton dernier moment, sans déviation. Pas très difficile à prévoir : destination probable !

En effet, l’enseignement du lama se conclut : « si tu ne changes rien aujourd’hui, il n’y a que peu de chance que demain soit différent d’aujourd’hui ; puisque aujourd’hui est le résultat d’hier » .
Et, l’aéromaître précise : « l’avenir que tu vois est ce que tu seras si tu files droit, sans rien changer ; ta destination la plus probable ; la plus prévisible » .

Ma conclusion …

Il reste donc à chacun et chacune la possibilité de décider si l’on veut filer droit, ou infléchir, chaque jour, la trajectoire de sa vie par des décisions et des actes qui changent notre vie.

Demain alors devient différent d’hier, et fait naître un avenir inattendu, un devenir insoupçonné, nouveau et non prédestiné ! Nous devenons le guide de notre propre vie ; le pilote autonome et heureux d’une vie qui nous ressemble.

Notre histoire ne s’écrit qu’au présent, au rythme de nos décisions et de nos actes ; chacun d’eux ré-ajuste le cap, et modifie la destination.

TOUT est écrit ; oui, TOUS les DEVENIRS ! Il nous suffit de choisir vers LEQUEL nous voulons nous diriger ; celui que nous voulons vivre, et non ceux qui resterons « écrits ».

‘Forge ton destin’ est gravé au fer sur mon épaule.

– Léarch, artisan du fer

est l’injonction du tatouage de Léarch, hordier comme Oroshi. Une invitation à NE PAS filer droit, si ce n’est pas la direction que l’on désire ; ou si cette trajectoire nous conduit à entretenir notre souffrance. Le résultat de ce que l’on a toujours acté, et qu’aujourd’hui, l’on regrette d’avoir toujours répété. C’est une invitation à donner un sens heureux à sa vie.

Forger son destin !


(*) La Horde du Contrevent, A. Damasio. Ed. folioSF,  pp.386-385, 2021(2006)

Couverture : La Flaque de Lapsane, Vol 3, La Horde de Contrevent, Éric Henninot, Ed. Delcourt, 2021


L’actu de lubang.ch – une sage mobilité du corps et de l’esprit 🦎

« Comment donner un sens heureux à sa vie«  est aussi un stage d’initiation aux connaissances anciennes de la Psychologie Bouddhique qu’Olivier anime avec passion au pied des vénérables et grandioses montagnes de la Couronne Impériale, en Anniviers. C’est une bonne manière de se donner les moyens de faire en sorte que demain ne soit plus semblable à hier.
Davantage d’information : DONNER UN SENS HEUREUX À SA VIE (STAGE)


Décider, ce n’est pas choisir

Comment une alpiniste m’a permis de mieux comprendre
une leçon de sagesse du Tog Chöd

Combien de fois sommes-nous empêtré.e.s dans un quotidien qui nous presse de prendre une option, alors que l’on aimerait tant en connaître les conséquences avant de nous décider : est-ce le bon choix?
Alors, on gamberge, on analyse, étudie, crée des scénarios, des histoires qui parfois nous prennent la tête. Tentatives aussi désespérées que vaines de connaître le futur; que l’on aimerait assurer, maîtriser, contrôler.

Le sage Tulku Lobsang, grand lama, et maître bien-aimé, me l’avait enseigné :

« Until you know everything, there is only one way to make your life clear. To decide »
– Tulku Lobsang Rinpoché

 » Jusqu’à ce que tu saches tout, il n’y a qu’une manière de clarifier ta vie. Décider  »


Souvent, j’ai défié des participant.e.s à nos cours de Tog Chöd, qui me faisaient part de leur difficulté à choisir. – « Décide ! », je leur lançais. « Décider, ce n’est pas choisir », je me rappelais.

Un jour, c’est la question d’un étudiant qui m’a défié :
– « Je ne comprends pas bien la différence entre décider et choisir. Quand je décide, je choisis. Si « ceci » est mon choix, c’est que j’ai décidé. Je ne peux décider que s’il y a un choix. Choisir, c’est décider… »
De ma réponse en contre-point, je ne me souviens que de sembler avoir satisfait le besoin de compréhension du futur enseignant.
Pour ma part, j’étais resté sur un sentiment d’incomplétude, face à cette nuance fine; décider n’est pas choisir et choisir n’est pas vraiment décider. Comment l’imager de manière simple ?

Vendredi matin, assis dans le train, les yeux admiratifs sur les contreforts du Lötschental, et les oreilles captivées par le 6e podcast de la série « Faces Nord », j’ai attrapé une perle : une belle image pour expliciter simplement ce qui sépare la Décision du Choix.
Maya Chollet – alpiniste, athlète, et journaliste à la RTS – confrontée à l’ascension des Grandes Jorasses – explique cette règle simple de la montagne :

« […] En montagne, pour prendre une décision, on se représente les choses comme sur la route; sous forme de feux : VERT, c’est « go » ; ok ! ROUGE, c’est simple : « c’est que ça va pas le faire ».
Le problème, c’est le JAUNE.
Jaune, c’est « peut-être »; Jaune, c’est le Doute. C’est pas la météo qui décide; c’est pas une blessure qui décide… c’est toi ! J’aime pas le Jaune ! 
C’est jamais une évidence. C’est toujours une équation avec un nombre infini d’inconnues. Jaune, c’est être fort. […]»
– in « Faire demi-tour » ; Faces Nord, podcast RTS, Episode 6 (42 min 40).

J’ai sursauté. « Mais bien sûr » !

Choisir, c’est quand tu sais, quand c’est Vert; ou Rouge. Libre à toi de choisir lequel des « Verts » tu préfères. Ou de néanmoins choisir le Rouge, par bravade ou projet funeste. Choisir entre une pomme et une poire, c’est savoir si je préfère une pomme d’une poire (toutes deux vertes?).

Mais décider, c’est le Jaune. Décider, c’est quand les paramètres sont ouverts, quand les conséquences sont inconnues, quand rien n’est sûr; quand « tu ne sais pas tout » comme nous l’indique le lama… et là, pour ne pas rester coi, ou coincé, pétrifié dans ta vie, il n’y a qu’une solution: Décider.

Décider, c’est se donner l’occasion d’avancer dans le Jaune; ça demande du courage.
Décider, c’est se tenir debout; c’est être, soi, seul, répondant de ce qui arrivera. C’est être respons-able.
Décider, c’est pratiquer la voie du guerrier pacifique, qui sait qu’il ne sait pas, et pourtant refuse d’abandonner son pouvoir d’action.
Décider, ce n’est pas choisir, c’est se permettre de passer à l’action, dans le Doute, dans le Jaune.

Merci Maya 🙏🏻


« FACES NORD »
Podcast RTS de Maya Chollet,
réalisé par Didier Rossat,
produit par Grégoire Molle.
Musique : Patricia Bosshard.
Les textes sont lus par Simon Matthey-Doret.

« Le Tog Chöd – L’Épée de Sagesse »
Description de la pratique : Le Tog Chöd
Les cours sont annoncés dans l’Agenda

Comment se passe une matinée de Tog Chöd avec Annick et Olivier ?

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Nos stages du dimanche matin ont pour but la découverte ou le perfectionnement de la pratique du Tog Chöd. Ils sont ouverts à tou.te.s, débutant.e ou avancé.e, sans pré-requis physique particulier. Avec le temps, il est possible de pratiquer de manière exigeante, pour le corps, pour la respiration… et même pour l’esprit; si l’on veut et peut. Au début, l’apprentissage du Tog Chöd commence néanmoins par l’acquisition des mouvements, ce qui se fait avec lenteur et concentration. En tous les cas, et quel que soit le niveau, vous serez encouragé.e.s à écouter et respecter votre « médecin intérieur » ; vous ne ferez pas un mouvement qui vous contraint trop, vous ferez une pause en regardant les autres avant de vous blesser…
Une demi-journée s’organise autour de deux sessions de pratique, une pause et une partie théorique; l’opportunité de pratiquer Corps, Respiration et Esprit :47447987_2168122733426550_2583824794533232640_n
  • accueil, ouverture par un échauffement
  • pratique lente (- selon niveau: apprentissage, revue des améliorations possibles)
  • pause, partage ou retrait, avec collation (tisane, chocolat, biscuits ou noix)
  • partage théorique (bienfaits du Tog Chöd, dimensions spirituelles du Tog Chöd)
  • pratique lente à soutenue (- selon niveau )
  • médiation guidée ou personnelle, et moment de partage, pour la clôture
Les moments de pratique s’adaptent au niveau des participant.e.s: nous y apprenons les mouvements de base pour les débutants; ou pratiquons les enchaînements au rythme adapté (effort physique, cardiovasculaire et respiratoire); il peut parfois s’agir de pratiques plus intenses (concentration et visualisations) pour les plus avancé.e.s, pour percevoir les bienfaits plus profonds (transformation des émotions, sensation d’espace). Ces derniers font néanmoins plutôt l’objet des stages d’une journée entière – ou weekend – pour ceux qui maitrisent les deux pratiques du Tog Chöd (préliminaire et principale). Parfois des praticien.ne.s plus avancés profitent aussi de « revenir aux bases » en perfectionnant les postures et les mouvements, avec concentration et vigilance, lors de ces matinées “débutant.e.s”.
La présence conjointe d’Annick et Olivier permet la création de groupes différenciés par niveau, ou même le suivi individuel, pour travailler une partie plus précise; ou pour témoigner et soutenir, séparément du groupe, si une émotion particulière et un peu trop forte émerge…
Cette configuration complémentaire, en couple, yin-yang, permet d’accueillir des sensibilités variées; c’est peut-être une raison pour laquelle nous accueillons aussi régulièrement des couples…
Tog Chod Apprentissage en petits groupes
Apprentissage en petits groupes
Tog Chod Apprentissage des passes en groupe (Tog Chöd extérieur)
Apprentissage des passes en groupe
(Tog Chöd extérieur)
Tog Chod Travail en face à face - L'exercice yogique pour le haud du corps
Travail en face à face – L’exercice yogique pour le haut du corps
Tog Chod Enseignement théorique symbolique et bienfaits du Tog Chöd, rapport avec l'enseignement bouddhique
Enseignement théorique: symbolique et bienfaits du Tog Chöd, rapport avec l’enseignement bouddhique
Tog Chod Pratique avec les 5 éléments et les visualisations (Tog Chöd intérieur)
Pratique avec les 5 éléments et les visualisations (Tog Chöd intérieur)

Tog Chod Méditation après la pratique du Tog Chöd
Méditation après la pratique du Tog Chöd

Tog Chöd Cours privé pour entreprise
Un atelier « privé » pour une entreprise

Tog Chöd Pratique en extérieur en été (la Clé des Champs)
Pratique en extérieur en été (la Clé des Champs)

Tog Chöd Fabrication d'épée (atelier spécifique sur un weekend)
Fabrication d’épée (atelier spécifique sur un weekend)